Les Présentations

Les entretiens avec un psychanalyste, devant un public restreint et choisi, de professionnels en formation, reste un mode de transmission de la clinique particulièrement adapté à la psychanalyse. Il préserve les qualités de l’entretien particulier et la rencontre des corps, condition minimale de l’expérience et du recueil clinique. L’analysant se déplace pour rencontrer son analyste. L’analyste qui souhaite entendre celui dont le parcours l’a conduit dans un lieu de soin, pour s’enseigner, va l’y rencontrer. Cette pratique, plus causerie orientée que présentation de cas, est l’occasion de faire surgir des effets de sujet dans le récit d’une histoire individuelle.

LA JOURNÉE DE VILLE-ÉVRARD

PASSAGE A L’ACTE, Origine et franchissement

Ce que nous apprenons de la clinique des parlêtres sur la manière du sujet d’habiter son corps masculin, féminin voire neutre, nous fait obligation d’en transmettre les résultats. Clinique d’un réel toujours en marche, dans son lien aux discours d’une époque, et particulièrement aujourd’hui aux effets de la science. Lacan l’avait anticipé et nous permet de disposer avec le discours de l’analyste d’un instrument puissant pour nous y orienter. L’anatomie ne suffit pas à définir le destin des êtres parlants quant à l’usage de leur corps, de leur jouissance. Leur désir non plus aussi « furet » se fasse-t-il dans sa dimension symbolique. La forme du corps qui dote une partie de l’humanité d’un pénis ne suffit plus à en définir l’identité de genre. Quiconque, doté ou non de l’appendice, peut s’annoncer pourvu d’un phallus, se positionnant dans le registre masculin ou féminin, comme les formules de la sexuation de Lacan dans le Séminaire Encore en donnent la richesse…

ENFANTS ET ADOLESCENTS

De l’objet à l’objet a, un parcours et une invention

Cette année sera consacrée à la question de l’objet a, de son invention par Lacan, de sa fonction dans la pulsion, le fantasme, les discours et la topologie, ainsi qu’à son repérage dans la clinique.
L’objet a est ce qui reste, ce qui chute de l’articulation signifiante, ce qui en fait – vu que l’avènement du sujet se produit au lieu de l’Autre à partir de l’articulation signifiante primordiale S1-S2 – un reste irréductible de cet avènement. C’est à ce reste, à cet objet, que le sujet aura désormais affaire, notamment dans le désir et dans l’angoisse.
C’est en tant que l’angoisse sera franchie que le désir se constituera. Cet objet s’avèrera donc une vraie boussole dans la clinique et notamment avec la manifestation de l’angoisse.
Si le sujet a affaire au signifiant dont la chaîne peut se dérouler à l’infini, et laisser ainsi le sujet errant et non rassemblé, l’objet logé dans le fantasme apporte une sorte de soudure avec le sujet. C’est un rapport qui prend consistance, grâce au fantasme, dont Lacan donne la formule : S ◊ a.
Le fantasme où prend place le a aura une fonction centrale dans la sexualité, et ce, en soutenant le désir qui y est lié. Mais c’est aussi à la place de cette part de vivant perdu qu’est l’objet a, du fait de l’avènement primordial du sujet, que pourront circuler les divers objets de la pulsion, elle aussi au cœur de la sexualité de l’être parlant.
Toute jouissance vivable se fera ainsi en rapport avec cet objet, seul à même de répondre faute de la réponse de l’Autre.
L’objet a est donc un rail, un repère, dans la complexité de la sexualité humaine, laquelle ne se réduit ni au genre, ni au non-genre, ni à l’identité, c’est-à-dire à une simple déclaration d’être. Le réel du sexe demande à ce que la question soit prise avec sérieux et à partir de ce que la psychanalyse a livré de résultats, d’élaborations et de questions.
Ces questions sont cruciales à notre époque et nous continuerons à explorer le champ ouvert par Freud et prolongé par Lacan avec son enseignement pour orienter la pratique à partir de la clinique que nous recueillons avec les enfants.
Cet enseignement se fera en trois parties, avec en introduction le cours de Lilia Mahjoub suivi de la présentation d’un enfant, soit un entretien qui donnera lieu ensuite à un commentaire et une discussion avec les participants. Une retranscription de l’ensemble sera établie à chaque fois par les participants présents qui en auront pris la charge.

ENSEIGNANT

Mme Lilia Mahjoub

CALENDRIER

Jeudi 9h30 – 12h
Une fois par mois

10 novembre 2022
8 décembre 2022
26 janvier 2023
16 février 2023
23 mars 2023
20 avril 2023
25 mai 2023
22 juin 2023

LIEU

Centre « Le petit Hans »
(Service du Dr Barbillon-Prévost)
24, rue de la Paix
92500 Rueil-Malmaison

RENSEIGNEMENTS

Pour pouvoir participer à ces présentations, un entretien avec l’enseignant sera proposé aux personnes intéressées, et ce, seulement après que leur inscription aura été acceptée à la Section clinique de Paris-Île-de-France. Il conviendra ensuite de prendre rendez-vous pour cet entretien, en appelant le secrétariat de Madame Lilia Mahjoub, au 01 45 56 08 36, uniquement le lundi matin et le mercredi matin de 9h30 à 11h.

ADOLESCENTS

Variétés des passages à l’acte adolescents

Tentatives de suicide, scarifications, agressivité et violence, fugues, errances, toxicomanies etc. se constituent en une longue liste de conduites dites à risque qui amènent de nombreux adolescents à consulter, en service d’urgence, en CMP ou à l’hôpital psychiatrique. Ces passages à l’acte, trop souvent ravalés aux conséquences d’une dépression ou d’une simple crise d’adolescence, sont toujours à prendre au sérieux. Une lecture éclairée par l’orientation psychanalytique permet d’élever ces discontinuités d’une existence en autant de réponses face au réel rencontré pour chacun1.
Dans son séminaire sur l’angoisse2, Lacan nous enseigne la clinique de l’acte en y distinguant notamment, le passage à l’acte et l’acting out. « Le moment du passage à l’acte est celui du plus grand embarras du sujet…c’est alors que de là où il est, il se précipite et bascule hors de la scène3». « Tout ce qui est acting out est à l’opposé du passage à l’acte4. L’acting out est essentiellement quelque chose, dans la conduite du sujet, qui se montre. L’orientation vers l’Autre, doit être relevé5 ».
Dans le témoignage des jeunes rencontrés, nous questionnerons, au cœur du plus singulier, la façon donc chaque sujet peut tenter, dans un effort de bien dire, ce qui a surgit de la dimension du corps. Lieu d’un éprouvé de jouissance qui agite et parfois, dans un court-circuit de la parole pousse à l’acte. Comment alors entendre, questionner, faire signe, accueillir les dires de ce sujet afin que ce qui n’a pas pu être traduit en mots se cerne, s’isole sans être oublié ?

1. Miller, J.-A., « Jacques Lacan : remarques sur son concept de passage à l’acte », Mental, Revue de la NLS, n° 17, avril 2006, p. 17-28.
2. J Lacan, Le Séminaire, livre X, L’angoisse, Le Seuil, 2004, p135
3.Ibid, p136
4.Ibid, p144
5.Ibid, p145

ENSEIGNANTS

Dr L. Gorini
Mme Y. Grasser
Mme L. Naveau
Dr JD Matet
Dr Y.-C. Stavy

CALENDRIER

les Mardis
Mardis 10h – 13h
8 novembre 2022
13 décembre 2022
17 janvier 2023
31 janvier 2023
14 mars 2023
4 avril 2023
23 mai 2023
20 juin 2023

LIEU

EPS de Ville-Evrard-Pôle 93I02 Dr Gorini
EPS de Ville-Evrard-Pôle 93I02 Dr Gorini
Unités hospitalières adolescentes
(ascenseur 5ème étage)
15, rue Charles Tillon 93300 Aubervilliers
Transport : Métro ligne 7, arrêt Quatre Chemins – Aubervilliers, ou arrêt « Fort d’Aubervilliers » /Bus 249, arrêt « Maison de retraite » ou bus 35, arrêt « Mairie d’Aubervilliers ».

RENSEIGNEMENTS

Secrétariat du pôle (Dr Gorini)

01 82 37 00 90

ADULTES

Le passage à l’acte, impasse subjective

Les diagnostics psychiatriques ne distinguent pas l’enjeu subjectif impliqué dans un passage à l’acte.
Par contre, la psychanalyse met en évidence que la parole est en impasse et l’angoisse à son acmé dans tout passage à l’acte.
Au cours de la présentation clinique, il faudra examiner en quoi consiste cette clinique du passage à l’acte à partir de : la tentative de suicide qui est appel à l’Autre ; l’acte de suicide proprement dit où le sujet disparaît, se séparant radicalement de l’Autre dont il était le déchet inutile ; du passage à l’acte meurtrier, « socialement immotivé », où le sujet vise l’Autre pour tenter d’en extraire l’objet joui …
Dans tout passage à l’acte, le sujet disparaît transgressant la loi symbolique, en la franchissant, et, si son être de jouissance n’est pas détruit, une mutation subjective le fait devenir un autre sujet.
La lecture psychanalytique dans le passage à l’acte des signifiants du sujet et de sa singularité ne met-elle pas en évidence la place que le sujet a pour l’Autre, soit celle de l’objet ?

Bibliographie :
Cottet, S., « Criminologie lacanienne », Mental n°21, 2008.
Gueguen, P.-G., « Principes du pouvoir de la psychanalyse face au suicide », Mental n° 17, 2006.
Lacan, J., « D’une question préliminaire à tout traitement de la psychose », Ecrits, Seuil, 1966, p.553 (note1).
Lacan, J., Le Séminaire, Livre X, L’angoisse, Seuil, Paris, 2004.
Maleval, J.-C., « Meurtre immotivé et fonction du passage à l’acte pour le sujet psychotique », Quarto, n°71
Miller, J.-A., « Jacques Lacan : remarques sur son concept de passage à l’acte », Mental, n° 17, 2006

ENSEIGNANTS

M. Philippe Benichou
Dr Fabien Grasser
Mme Beatriz Vindret

CALENDRIER

les Vendredis
Vendredis 13h30 à 16h
2 décembre 2022
6 janvier 2023
3 février 2023
17 mars 2023
07 avril 2023
26 mai 2023
9 juin 2023

LIEU

CMP de Yerres,
1 rue de la Grange, Yerres 91330.
Station RER « YERRES »
puis Bus jusqu’au CMP.

RENSEIGNEMENTS

Secrétariat du pôle (Dr Gorini) 01 82 37 00 90

Secrétariat du Dr Djamila Mebtouche-Garadi,
cheffe de service
01 61 69 65 66

ADULTES ADDICTS

Passage à l’acte et addictions

La clinique des addictions confronte le clinicien de manière directe avec ce qui est au cœur de la logique du passage à l’acte : le statut du sujet identifié à l’objet a et la négociation avec une jouissance très souvent non-extraite du corps. Les sujets que nous rencontrons dans cette clinique si particulière ont-ils une propension au passage à l’acte sous ses différentes formes : leur usage des toxiques en est-il un équivalent ou une barrière ? Leurs parcours témoignent très généralement de la difficulté majeure qu’ils ont à se détacher d’une identification – voire d’une pétrification – à l’objet déchet. En cela cette clinique pourrait éclairer :
Ce qui pousse un sujet à passer à l’acte : un rapport vacillant à un Autre à même de faire barrage à la jouissance.
La tendance à la déchetisation une fois ce rapport devenu inopérant.
Le traitement de ce rapport par l’analyse et par l’institution.
Le rapport contemporain finalement plus général de l’ordre symbolique au réel : son incidence labile et réduite.
Avec l’ascension irrésistible du paradigme neuro en psychiatrie et la remise en question du regroupement en catégories classificatoires du DSM-5 après sa sortie ratée, la clinique se trouve ramenée au réel du matérialisme organique au détriment de la causalité psychique. Cette réduction – voire forclusion – ne veut rien savoir du réel de la jouissance. Elle favorise même son retour mortel dans le passage à l’acte. Et elle le rend illisible pour les neuro-praticiens inavertis.
Puisqu’elle a affaire de manière directe au réel de la pulsion, ici appareillée par les prothèses, la clinique dite des addictions est concernée au premier plan par cette jouissance.
Elle s’exprime ici par le passage à l’acte remanié par les toxiques ou des pratiques compulsives sans cesse alimentées par le dynamisme de la Technique. Les scansions introduites par le manque, les sevrages et rechutes, y écrivent une histoire de la consommation qui brouille la lecture de la structure. Il s’agit de lever les mirages de ladite addiction et de ses aléas pour parvenir à lire celle-ci.
La modération, voire le sevrage lorsque le sujet le désire, permettent de retrouver l’inertie propre à la jouissance, dont l’identification à l’objet déchet constitue le paradigme ultime et l’enjeu de son traitement, inséparable – ici comme ailleurs – du cours du diagnostic.
Abordée sous cet angle l’on constate qu’il s’agit d’un problème d’une cruciale actualité car il concerne la fluidité de la jouissance que le discours qui nous détermine produit et des modes variables de régulation et d’arrangement dont chaque être parlant dispose.

ENSEIGNANTS

M. Fabian Fajnwaks
Dr Pierre Sidon

CALENDRIER

les Vendredis
Vendredis 8h45 – 11h
25 novembre 2022
16 décembre 2022
06 janvier 2023
03 février 2023
17 mars 2023
7 avril 2023
26 mai 2023

LIEU

Centre thérapeutique Résidentiel du CSAPA Meltem (Centre de Soins, d’Accompagnementet de Prévention en Addictologie)
17, Avenue de l’Épargne 94500 Champigny-sur-Marne. Accès par : De Paris, Autoroute A4 ou : RER A Gare de Champigny – Bus 208a – descendre à l’arrêt Chateaudun ou RER E Gare de Villiers Sur Marne Le Plessis-Trevise puis Bus 308 ou 25’ de marche.

RENSEIGNEMENTS

Secrétariat de la Section clinique link : contact

ADULTES

S’orienter dans la clinique II

Quand Lacan parlait de l’asile clinique en évoquant son exercice à l’hôpital Ste Anne, ce n’était pas pour privilégier la tradition psychiatrique de la présentation mais pour tenter de faire surgir l’écho de sa propre voix sur les murs qui accueillent celle ou celui qui n’a pu éviter de s’y retrouver. L’accent est donc plutôt sur le style « entretien clinique » proposé à une personne qui accepte de le faire avec un psychanalyste qui vient à sa rencontre. Les participants incarnent un Autre qui fait valoir, en tiers, ce qui peut s’entendre de l’échange. Occasion au-delà des entretiens habituels de suspendre la perspective thérapeutique pour faire valoir l’énigme d’un symptôme, les conséquences d’un passage à l’acte, l’absence de construction d’une histoire familiale qui n’a pu orienter suffisamment un sujet dans la vie sociale, malgré le bagage universitaire substantiel qu’il a pu acquérir. Ailleurs un délire discret ou plus élaboré sature le sens d’une vie qui ne trouve plus le chemin d’un lien social efficace, à distinguer de la construction fantasmatique.

C’est parfois un comportement énigmatique qui conduit un sujet à l’hôpital et quand l’entretien a lieu, quelle trace en reste-t-il ? Un risque du passage à l’acte, suspendu un temps, ou son échec, quand une volonté de mourir est à l’œuvre, nous incite à considérer le contexte symbolique dans lequel il se déploie, tout comme le risque d’une violence sur autrui.

L’entretien d’une présentation est donc exceptionnel, tant pour celui qui s’y prête que pour ceux qui écoutent quand peut apparaître au décours d’un détail, d’une particularité de langage, ce qui fait le propre d’un trajet de vie, quand une place d’objet auprès d’un Autre a pu s’affirmer ou souvent quand il a été impossible de la soutenir avec son cortège de laisser tomber, de ravage ou de déréliction qui s’inscrivent dans le corps. Mais aussi de ce qui a tenu, fait suppléance, voire symptôme au moins une partie de sa vie.

ENSEIGNANTS

M. Éric Laurent
Dr Jean-Daniel Matet

CALENDRIER

les Mardis
Mardis 10h – 12h30
15 novembre 2022
6 décembre 2022
24 janvier 2023
14 février 2023
21 mars 2023
16 mai 2023
6 juin 2023

LIEU

Service du Dr Kidichian
Hôpitaux de st Maurice ,10/14 rue du Val d’Osne – 94410
Saint-Maurice.
Accès par ligne de métro 8, arrêt Charenton Écoles puis 15 mn à pieds pour arriver à la porte 7 du secrétariat du Pôle Paris-Centre (Chef de Pôle : Dr Frédéric Kidichian). Ou bus 111 arrêt Épinettes.

RENSEIGNEMENTS

Secrétariat de la Section clinique link : contact

ADULTES

Hôpital d’Instruction des Armées de Percy Présentations

Quand Lacan parlait de l’asile clinique en évoquant son exercice à l’hôpital Ste Anne, ce n’était pas pour privilégier la tradition psychiatrique de la présentation mais pour tenter de faire surgir l’écho de sa propre voix sur les murs qui accueillent celle ou celui qui n’a pu éviter de s’y retrouver. L’accent est donc plutôt sur le style « entretien clinique » proposé à une personne qui accepte de le faire avec un psychanalyste qui vient à sa rencontre. Les participants incarnent un Autre qui fait valoir, en tiers, ce qui peut s’entendre de l’échange. Occasion au-delà des entretiens habituels de suspendre la perspective thérapeutique pour faire valoir l’énigme d’un symptôme, les conséquences d’un passage à l’acte, l’absence de construction d’une histoire familiale qui n’a pu orienter suffisamment un sujet dans la vie sociale, malgré le bagage universitaire substantiel qu’il a pu acquérir. Ailleurs un délire discret ou plus élaboré sature le sens d’une vie qui ne trouve plus le chemin d’un lien social efficace, à distinguer de la construction fantasmatique.

C’est parfois un comportement énigmatique qui conduit un sujet à l’hôpital et quand l’entretien a lieu, quelle trace en reste-t-il ? Un risque du passage à l’acte, suspendu un temps, ou son échec, quand une volonté de mourir est à l’œuvre, nous incite à considérer le contexte symbolique dans lequel il se déploie, tout comme le risque d’une violence sur autrui.

L’entretien d’une présentation est donc exceptionnel, tant pour celui qui s’y prête que pour ceux qui écoutent quand peut apparaître au décours d’un détail, d’une particularité de langage, ce qui fait le propre d’un trajet de vie, quand une place d’objet auprès d’un Autre a pu s’affirmer ou souvent quand il a été impossible de la soutenir avec son cortège de laisser tomber, de ravage ou de déréliction qui s’inscrivent dans le corps. Mais aussi de ce qui a tenu, fait suppléance, voire symptôme au moins une partie de sa vie.

ENSEIGNANTS

Dr Agnès Aflalo
Mme Anaëlle Lebovits-Quenehen

CALENDRIER

La présentation aura lieu le mercredi matin, une fois par mois, de janvier à juin 2023, de 9h à 11h et à
des dates précisées ultérieurement.

LIEU

Hôpital d’Instruction des Armées Percy
Service de psychiatrie du Dr Marie BOUSSAUD
2 rue Lieutenant Raoul Batany 92140 Clamart

RENSEIGNEMENTS

Agnès Aflalo au 06 08 07 28 12 ; agnes.aflalo@wanadoo.fr Le nombre de place étant limité, il conviendra de prendre contact avec le Dr Agnès Aflalo, une fois faite l’inscription à la SC-IdF.